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Nous inaugurons notre format Drive to TEAM avec Mikaël Bes, notre CEO.

Allez à sa rencontre dans cet article. Découvrez les fondements de DooH it et de quelle façon il en est arrivé là au travers de notre drive to team du jour !

Salut Mikael, ou Mika comme on dit chez DooH it, comment vas tu aujourd’hui ?

J’ai le smile, mon côté optimiste à toute épreuve. Je suis aussi très content qu’on s’en sorte si bien en cette fin d’année au vu du contexte actuel. 

Peux-tu nous parler un peu de ton parcours scolaire ?

La version courte, c’est 1 an en école de commerce américaine à Paris suivi de 2 ans à l’université de San Diego avec une spécialité entrepreneuriale. Puis, 3 ans en Banque d’Affaire, du droit en cours du soir à La Sorbonne Paris 1. Je continue à me former sur ces sujets dans les cadres des formations de l’ENM dispensées aux juges des tribunaux de commerce.  

Quels ont été pour toi les déclencheurs pour devenir entrepreneur ? Que penses tu du surnom : serial entrepreneur ?

C’est un professeur qui dispensait des cours sur l’entreprenariat à San Diego et qui lui-même était un entrepreneur à succès. Avec un réseau de dingue, il m’a pris sous son aile et m’a donné envie d’entreprise. Le résultat, en 6 ans aux USA, c’est 5 aventures entrepreneuriales que j’ai commencées avec à chaque fois énormément d’apprentissage. J’en étais venu à tutoyer le personnel des bureaux d’enregistrement des sociétés ! 

Je ne pense pas qu’il y ai une meilleure façon d’apprendre que de passer par l’entrepreneuriat. On se prend beaucoup de claques mais c’est très enrichissant. 

Pour ce qui est du surnom de serial entrepreneur, je pense que cela reflète bien cette idée de passer par des multiples aventures entrepreneuriales pour gagner en compétence et réussir. 

Comment gères-tu ton exercice de droit et ton rôle de CEO d’une startup en croissance ?

DooH it occupe l’essentiel de mes journées et de mes pensées. C’est bien normal, c’est une startup en pleine croissance avec un potentiel incroyable de transformer le marché de l’ad tech en France et en Europe. Mon activité de juge au Tribunal de commerce est une passion. C’est en même temps un point d’équilibre qui me permet de prendre du recul sur le quotidien avec l’objectif d’aider mon écosystème. Les enjeux que je dois juger ont de lourdes répercussions pour les entrepreneurs et entreprises concernées. Il est donc indispensable d’être 100% focus sur les affaires. Au delà, je plaide auprès de mes collègues juges et du ministère pour une simplification de l’accès à la justice pour les parties. Ainsi que l’accélération des délais de traitement des affaires. 

Qu’est ce qui t’a donné envie de créer Charlicharger puis DooH it ?

Ma motivation initiale était de rendre service aux 70% des français qui ont des problèmes de batterie avec leur Smartphone dans la journée. Cela a ensuite rapidement évolué vers l’axe de communication à la demande d’entreprises souhaitant communiquer sur nos dispositifs. Au bout de 2 ans et de l’entrée au capital de pros du média comme Alexandre Ichai, on a pris le virage média pour devenir une régie publicitaire servicielle

Ma motivation repose avant tout sur la valeur ajoutée que l’on a sur le public et plus largement notre société européenne. Pouvoir rendre un service apprécié au quotidien au public, soutenir les commerces et chauffeurs de VTC, apporter une valeur ajoutée à des acteurs comme l’Oréal ou Kering en font partis. 

As-tu un rituel quotidien dont tu ne peux te passer ?

J’estime qu’il est indispensable dans un quotidien saturé de prendre du recul avant de se lancer. Un bon petit déjeuner, une veille sur l’actualité, un moment de réflexion sur soi et sa journée sont autant de rituels que je pratique tous les matins pour être au top.

As tu une réussite/fierté particulière dont tu voudrais nous parler ?

Je n’aime pas regarder en arrière, je regarde toujours en avant, équipé certes de l’expérience passée, mais sans trophées ou nostalgie. Ma fierté est dans les détails du quotidien, un client qui donne un retour d’expérience positif, un investisseur qui démontre sa confiance en investissant dans l’entreprise. Ou tout simplement des équipiers qui ont le sourire et s’épanouissent dans leurs missions.

Un petit mot pour conclure ?

“Ceux qui pensent que c’est impossible sont priés de ne pas déranger ceux qui essaient” 

Merci beaucoup d’avoir répondu à toutes nos questions pour ce Drive to TEAM !

A bientôt pour un nouveau portrait 😉

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